Chacun
écrivant sur la démocratie, commence par distinguer les démocraties
« directes » de celles « indirectes »
dites aussi démocratie représentative. Ceux qui se concentrent sur les
institutions opposent parfois la « démocratie des assemblée » à la « démocratie
parlementaire » ; mais la distinction est la même car dans une
démocratie directe, le peuple se gouverne effectivement lui-même, c'est-à-dire que
chacun à le droit de la prise de décision comme l’était le model grec antique,
tandis que l’autre système repose sur le choix des représentants du peuple pour
prendre des décisions au nom du groupe.
Les
analyses conceptuelles de la démocratie affichent toujours à assurer que la
démocratie directe n’existe plus du moins dans les Etats moderne contrairement
à la conception antique de la démocratie. Cette indiscutable vérité tend à être
suivie de l’affirmation qu’une telle démocratie ne peut plus exister à cause de
la taille des sociétés contemporaines. On peut adopter une attitude historique
différentes, tournée vers d’autres types d’expériences humaines ce qui tend à
prendre des formes variables selon la nationalité de l’auteur, selon sa religion,
sa race… (etc.). Le monde anglo-saxon a porté son regard vers les cités-États grecques de l’époque classique pour s’inspiré
de ce model, c’est pourquoi ils sont irrésistiblement attiré par leurs propre
forme de démocratie directe traduite dans les assemblée communale (The town
meeting). Les français, depuis Jean Jacques Rousseau, ont en outre leurs
regards vers la Rome antique pour trouver leurs sources inspiratrices. Aussi l’histoire ne peut-il nourrir un
parallèle politique quotidien quand il est question de transition démocratique
et de model gouvernemental ?
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